Au long de la vie

Les sacrements nourrissent la foi chrétienne
tout au long de la vie

Pour recevoir ou discuter de la réception de l’un de ces sacrements,
prenez contact avec le curé du secteur :
voyez la page « Qui est qui ? »

Le Christ ressuscité retourne vers Dieu, le Père. Mais avant d’aller s’asseoir à la droite du Père, il envoie ses apôtres en mission en les rassurant.

Je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde (Mt 28,20). En effet, Notre Seigneur Jésus Christ est au milieu de nous par le biais des sacrements. Ceux-ci expriment autre chose que ce qu’ils présentent à nos regards. Ce que nous voyons est une apparence matérielle, tandis que ce que nous comprenons est un fruit spirituel, dit saint Augustin, dans son sermon 272.

En 1215, le concile de Latran IV définit les sept sacrements.

Trois sacrements d’initiation chrétienne : baptême, première communion = sacrement de l’Eucharistie, et confirmation.

Baptême

L’être humain entre dans la vie par la génération et la naissance : Jésus Christ le fait naître à la vie nouvelle par le baptême.

Eucharistie

La vie physique a besoin de nourriture : la nourriture de la vie nouvelle est le corps glorieux de Notre Seigneur Jésus Christ. Il est mystérieusement présent sous les formes sensibles du pain et du vin dans l’Eucharistie.

Vous trouverez plus d’informations sur la page Catéchèse.

Confirmation

La plénitude de la vie nouvelle est donnée par la confirmation.

Vous trouverez plus d’informations sur la page Catéchèse.

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Deux sacrements d’état de vie : l’ordre et le mariage assurent les dimensions sociales de la vie nouvelle, de même que la famille et la société assurent l’existence naturelle de ses membres.

Mariage

L’homme et la femme s’unissent pour se soutenir réciproquement et pour donner la vie humaine par la grâce de Dieu, le Père, la source de toute vie.

Ordre

Il est le sacrement grâce auquel la mission est confiée par le Christ aux prêtres pour étendre et continuer la vie nouvelle dans le Peuple de Dieu en Jésus Christ.

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Deux sacrements de guérison :

La vie naturelle du corps est menacée par des maladies et des blessures. Celles-ci seraient mortelles si la force de l’organisme et des médicaments ne les surmontaient pas. La guérison et l’affermissement de la vie nouvelle se réalisent avec fécondité par les sacrements de pénitence et de l’onction des malades.